Festival de Gérardmer | Critique : Superdeep

1984. Cercle Arctique. Située 12 000 mètres sous la surface de la terre, la station de forage de Kola dissimule le plus grand laboratoire secret d’Union Soviétique. Quelques mois après son ouverture, des scientifiques enregistrent des voix et des cris émanant des profondeurs. Le site est mis en quarantaine et une équipe est dépêchée sur place afin de découvrir ce qui se cache dans les abîmes de la Terre…

Superdeep
Russie, 2020
De Arseniy Sukhin

Durée : 1h55

Sortie : –

Note :

Chronique express

Le film de science-fiction russe Superdeep s’enfonce au plus profond de la Terre. Un laboratoire secret s’y cache et quelque chose d’horrible est arrivé. Mais pendant que ses protagonistes creusent et se débattent dans les profondeurs, le long métrage de Arseniy Sukhin reste en surface. On imagine le lointain modèle de The Thing mais mieux vaut ne pas trop penser à John Carpenter. Superdeep est avant tout un film de bavardages et de couloirs, qui se repose quasi-exclusivement sur ses effets visuels et ses maquillages. Le résultat, sans tension, est un blockbuster à la fois robotique et sans savoir-faire.

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par Nicolas Bardot

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